Les 茅changes entre l'Asie et l'Afrique couvrent plusieurs domaines et la culture contribue 脿 tisser des liens entre les continents. Int茅ressons-nous 脿 la vie de 2 Africains, qui ont tiss茅 des liens profonds avec la Chine.
Joe, une Tanzanienne de 21 ans, est maintenant retourn茅e chez elle. Elle a 茅tudi茅 l'acrobatie et la magie en Chine pendant 3 ans. L'acrobatie chinoise a une histoire de 3 mille ans, et est reconnue dans le monde entier. La Chine a commenc茅 la formation d'acrobates africains d貓s les ann茅es 60 du si貓cle dernier.
Wuqiao, une ville dans la province du Hebei, est connue comme la capitale de l'acrobatie. De nombreux jeunes africains y viennent pour apprendre les techniques. Apr貓s un an d'茅tudes, le Minist貓re chinois de la Culture lui a permis d'y rester pour plus d'entraînement, en raison de ses progr貓s remarquables.
Joe Acrobate tanzanienne
"Pas de m貓re, pas de fr貓res, ici je n'ai pas de famille. Mais nos enseignants nous traitent comme des p貓res ou des oncles. J'ai eu la chance de rencontrer beaucoup de gens gentils. Je garderai toujours ces souvenirs."
Les 茅changes culturels se sont multipli茅s, notamment 脿 travers le tourisme. En 2002, l'Egypte a ouvert ses portes aux visiteurs chinois. Au cours de la visite du pr茅sident chinois Hu Jintao 脿 ce pays, il a b茅n茅fici茅 d'une visite VIP du Mus茅e National.
Ahmed, guide Mus茅e National d'Egypte
"J'茅tais nerveux 脿 ce moment-l脿. Quand j'ai commenc茅 脿 parler, le pr茅sident Hu m'a souri et hoch茅 la t錨te. Il connaissait beaucoup de l'Histoire 茅gyptienne. Il m'a suivi pour la seconde moiti茅 de la visite, et m'a pos茅 de nombreuses questions. Il 茅tait modeste et gentil. Il m'a remerci茅 et m'a serr茅 la main au moment de partir. Ce souvenir est toujours frais dans mon coeur."
Ahmed est aujourd'hui tr貓s habitu茅 aux touristes chinois. Il prend en charge 2 ou 3 groupes tous les jours. C'est selon lui tr貓s gratifiant de franchir les barri貓res de l'histoire, de l'茅conomie, et des diff茅rences de mani貓re de penser.
Zhu Dan, CCTV
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