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Envoyer par emailDossier
En 1994, Rebiya Kadeer a effectué une «mission d'étude commerciale» en Turquie, où elle avait de fréquentes rencontres avec les chefs de file de la « Fondation charitable du Turkestan oriental » et a fourni des fonds à des organisations terroristes à l'étranger. Mais ses lettres écrites durant cette période aux dirigeants de la Région autonome étaient remplies de tels mensonges : « Je suis native au Xinjiang. J'ai lancé mes affaires pour la patrie et je mourrai pour la Chine. Ma loyauté à la patrie demeurera inchangée et je ne quitterai pas le sol de mon pays ». « Je déclare ceci : je me range aux côtés du Parti et du peuple et je suis opposée au scissionnisme national et aux activités illicites menées sous le couvert de la religion. Si on découvre que j'étais impliquée dans de telles activités, j'accepte volontiers les sévères punitions de la loi».
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Propos de Rebiya Kadeer avant son départ pour les |
En mars 2000, Rebiya a été condamnée à 8 ans de prison pour avoir fourni des renseignements et des fonds à des membres d'organisations étrangères. Pendant qu'elle purgeait la peine, elle était hostile au gouvernement durant la première période.
Apres 2002, Rebiya se montrait active dans la rééducation et a travaillé en coordination avec l'administration de la prison. Elle a proposé de lancer une campagne d'éducation parmi les criminels détenus, en dénonçant les scissionnistes nationaux du Xinjiang.
La vidéo de cette époque montre que Rebiya s'est ainsi exprimée devant les criminels : je suis formée par le Parti communiste. Les scissionnistes nationaux, qui que ce soit, sont ennemis de la nation, ennemis de l'humanité et ennemis de la stabilité de notre pays. Je suis claire, très claire sur ce point.
Le 17 mars 2005, Rebiya a obtenu d'être remise en liberté provisoire pour pouvoir bénéficier de soins médicaux et de partir pour les Etats-Unis.
Au cours de sa rencontre organisée par la prison avec les membres de sa famille, elle a recommandé à ses enfants d'observer les disciplines et de se conformer aux lois. Elle a dit ceci : il ne faut pas, absolument pas tomber dans le piège des mauvais éléments. Les mauvais éléments mènent des activités visant à diviser la nation, à porter atteinte à la stabilité du pays et au bonheur de l'humanité.
Le soir même, lors de sa dernière conversation avec le personnel de la prison, Rebiya, levant sa main droite, s'est engagée à maintenir l'unité et la stabilité du pays.
Une demi-heure après la conversation, Rebiya est partie pour l'aéroport. Dès son arrivée à l'étranger, elle a complètement changé d'attitude. Depuis lors, agissant de connivence avec des forces anti-chinoises à l'étranger, elle s'est engagée dans toute une série d'activités visant à saboter l'unité du pays et à diviser la nation.
Rédacteur: Tao Ruogu